Concepts de base Psychanalyse PA

Comme Andrawis A. (2018) l’a décrit, l’AP est une discipline des sciences humaines qui traite de la vie humaine et de ses souffrances et maladies mentales, avec un accent sur les traumatismes de la petite enfance. D’un point de vue anthropologique, l’être humain est considéré comme une unité de corps, d’esprit et d’âme, qui sont considérés comme inséparables les uns des autres. L’AP est la science de l’inconscient. Sigmund Freud l’a fondée il y a plus de 100 ans en tant que nouvelle discipline appelée PA. Ses racines se trouvent dans la médecine, la métapsychologie et la philosophie. En tant que discipline analytique, elle représente une méthode de recherche sur l’inconscient et les maladies causées par les répressions et les traumatismes de la petite enfance. De plus, elle traite d’un certain nombre de techniques psychanalytiques pratiques et de concepts théoriques, ainsi que d’idées modèles sur le développement des maladies mentales et de la souffrance mentale (Andrawis A 2018).

L’APE

se concentre sur les traumatismes de la petite enfance. Dans ce cas, il faut tenir compte de ce qui suit : Résistance du patient, transmission des répressions, carence structurelle œdipienne et évaluation de la sexualité pathologique. La théorie culturelle globale de l’AP est une doctrine de l’individu humain, ainsi qu’un collectif de traumatismes intériorisés et leur prise en compte. La dynamique de masse et l’accompagnement des victimes sociales et des individus doivent également être clarifiés. (Freud A. & Grubrich-Simitis 2006). L’APE examine des processus mentaux autrement difficilement accessibles, en particulier des significations inconscientes de discours, d’actions, de sentiments et d’imaginaires, de rêves, de fantasmes et de désirs. Il s’agit d’une méthode psychothérapeutique basée sur cette investigation et caractérisée par l’interprétation du désir et de la défense, de la transmission et de la contre-transmission. En ce sens, le terme psychanalyse est utilisé comme synonyme de traitement et thérapie psychanalytique (ibid.).
Comme le décrit List (2009), l’AP et son analyse peuvent être décomposées, décomposées ou liées : Une comparaison linguistique avec le travail en laboratoire chimique, où la décomposition ou les liaisons chimiques peuvent également se produire. Dans la collecte de l’anamnèse biographique de l’homme, des liens complexes peuvent apparaître. Dans le laboratoire de l’inconscient, on essaie de trouver l’accès à l’inconscient refoulé à travers les rêves et l’interprétation des rêves sur la base d’associations libres. Le thérapeute peut ainsi reconstituer l’état de l’âme de l’enfant.
des répressions antérieures ou relier les liens avec la psychodynamique actuelle et le conflit actuel (Liste E, 2009).

Thérapies par des approches pharmacologiques

Les antidépresseurs et les benzodiazépines sont utilisés dans les thérapies actuelles, mais les benzodiazépines ne devraient être utilisées qu’au début du traitement lorsque l’état est aigu et pénible. De cette façon, l’effet est plus rapide et plus efficace. Il convient toutefois de noter que cette drogue ne doit être utilisée que pendant une courte période afin d’éviter la dépendance. Les benzodiazépines doivent être interrompues en plusieurs étapes sur plusieurs semaines. Les antidépresseurs, les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS) sont utilisés ici. L’effet des antidépresseurs se produit habituellement après deux à trois semaines d’utilisation comparativement aux benzodiazépines, qui ont le même effet. Au cours des dernières années, le succès du traitement des troubles anxieux a été clairement positif. Selon Möller et ses collaborateurs (2005), les psychopharmacothérapies et les psychopharmacothérapies constituent l’approche idéale pour une réussite ciblée. La psychanalyse PA joue un rôle majeur dans les troubles anxieux généralisés. Au sens large, la psychanalyse comme forme particulière de psychothérapie scolaire dans l’expérience quotidienne de l’auteur avec les patients a montré que sa tâche en tant que psychanalyste consistait à améliorer la compétence sociale, à structurer l’environnement, à sensibiliser et à faire revivre le conflit initial désormais inconscient dans le cadre d’un processus de transfert, un « post-mûrissement » du moi par le développement de solutions de conflit optimales. En outre, le développement d’un état psychique stable et stable des relations de partenariat, en conséquence, la reconquête des compétences sociales, le développement des compétences d’auto-assistance par la réflexion des événements, y compris la promotion de la valeur personnelle, afin de comprendre et de représenter consciemment les répressions inconscientes de l’enfance avec reconstruction. Il est important pour la santé et la satisfaction de la vie que les besoins personnels puissent être satisfaits. En fin de compte, le patient doit se sentir libre et indépendant (ibid.).

La relaxation musculaire progressive selon Jacobsen

Il implique la relaxation et la tension des muscles physiques individuels, le biofeedback et l’entraînement autogène. En tant que processus physiologique, toutes ces formes montrent une rétroaction positive pour le système nerveux autonome.
Les deux méthodes jouent un rôle important dans la découverte de la cause des schémas de comportement infantiles destructeurs, des schémas d’anxiété, afin d’obtenir la correction et la sensibilisation. Une stratégie d’adaptation est développée contre les peurs. Möller et coll. énumèrent les faiblesses structurelles de l’I comme causes, qui peuvent être éliminées par des stratégies d’adaptation à l’anxiété. De plus, il y a le développement d’un état mental stable et d’une compétence d’auto-assistance par la réflexion sur les événements, y compris la promotion de la valeur personnelle, afin de comprendre les répressions inconscientes de l’enfance avec reconstruction et d’être capable de les représenter consciemment (Möller et al., 2005). Les personnes concernées doivent savoir que leurs craintes ne peuvent être considérées comme omnipotentes et immuables et qu’elles cherchent de l’aide. Au cours de la thérapie, ils ont tendance à avoir peur de mobiliser les mécanismes de défense, ce qui rend plus difficile la réalisation des objectifs thérapeutiques. L’utilisation de psychotropes, en particulier d’antidépresseurs et d’inhibiteurs du recaptage de la sérotonine (ISRS) dans le traitement s’est avérée efficace pour le rétablissement. Afin d’éviter une rechute, Dilling et al (2011) recommandent que les psychotropes soient poursuivis après une certaine période de temps.

Univ. Prof. Dr. Andrawis